Le "Conte" commence par le fait que l'auteur écrit son histoire dans un contexte biblique et parle du premier péché de l'humanité, le péché d'Adam et Eve. Et ainsi, comme le Seigneur était autrefois en colère contre les gens, mais en même temps, punir, mène au chemin du salut, donc les parents élèvent leurs enfants. Bien joué, les parents apprennent à vivre «dans la raison et sans méchanceté». Les parents demandent au jeune homme de ne pas «aller aux fêtes et aux fraternités», de ne pas boire beaucoup, de ne pas se laisser séduire par les femmes, d'avoir peur des amis stupides, de ne pas tromper, de ne pas prendre quelqu'un d'autre, de choisir des amis fiables. Toutes les instructions des parents sont en quelque sorte liées à la structure familiale traditionnelle. La clé du bien-être humain est donc un lien avec la famille, le clan et la tradition.
Bien joué, en revanche, il essaie de vivre avec son propre esprit, et l'auteur explique ce désir en disant que le bien fait "était à l'époque petit et stupide, pas en pleine raison et imparfait en raison". Il se fait des amis, et l'un d'eux est comme un frère nommé, qui appelle le jeune homme dans une taverne. Le jeune homme entend les doux discours d'un "ami fiable", boit beaucoup, s'enivre et s'endort dans la taverne.
Le lendemain matin, il se retrouve volé - des «amis» ne lui laissent que le «kabatskaya gunkka» (chiffons) et les «jambes chauffantes» (chaussures de saleté usées). Pauvre, les «amis» d'hier ne l'acceptent plus, personne ne veut l'aider. Bravo, il est embarrassant pour lui de retourner auprès de son père et de sa mère "et de sa famille et de sa tribu". Il se rend dans des contrées lointaines, il erre accidentellement dans une ville, trouve une cour où se déroule une fête. Les propriétaires aiment que le camarade se comporte «selon l'enseignement écrit», c'est-à-dire comme ses parents lui ont enseigné. Il est invité à la table, soigné. Mais le gars tourne, et après avoue à tout le monde qu'il a désobéi à ses parents, et demande des conseils sur la façon de vivre d'un côté étrange. Les bonnes personnes conseillent au jeune homme de vivre selon les lois traditionnelles, c'est-à-dire qu'elles répètent et complètent les instructions du père et de la mère.
En effet, la première fois, les choses vont bien pour le jeune homme. Il commence à «vivre habilement», fait fortune, trouve une bonne épouse. Ça va au mariage, mais le héros fait une erreur: il se vante de ce qu'il a accompli devant les invités. "Le mot a toujours pourri de façon louable", note l'auteur. En ce moment, le jeune homme écoute le Grief-Anger et décide de le chaux. Depuis lors, Grief-Malignancy est un compagnon indispensable du boursier. Elle le persuade de boire sa propriété dans une taverne, évoquant le fait qu '«ils ne seront pas chassés du paradis nus, pieds nus». Le jeune homme obéit à Grief-Malignancy, boit tout l'argent, et seulement après cela, il se rattrape et essaie de se débarrasser de son compagnon - Grief-Malignancy. La tentative de se précipiter dans la rivière a été infructueuse. Le malheur attend déjà le jeune homme sur le rivage et le fait se soumettre complètement à lui-même.
Grâce à une rencontre avec des gens gentils, un tournant est à nouveau prévu chez le bonhomme: il a été pris de pitié, écouté son histoire, nourri et réchauffé par des porteurs de l'autre côté du fleuve. Ils le transportent à travers la rivière et lui conseillent d'aller voir ses parents pour une bénédiction. Mais dès que le camarade est laissé seul, le Malheur-Harmfulness recommence à le poursuivre. En essayant de se débarrasser de Grief, le jeune homme se transforme en faucon, Grief se transforme en faucon gerfaut; bien fait - dans une colombe, Malheur - dans un faucon; bien fait - dans un loup gris, Malheur - dans un troupeau de chiens; bien fait - pour plumer l'herbe, le chagrin - à la faux; bravo - dans le poisson, Grief le suit avec un filet. Le bravo redevient un homme, mais Malheur à la malignité ne tarde pas, apprenant au jeune homme à tuer, à voler, pour que le jeune homme "pende ou mette de la pierre dans l'eau". Enfin, le "conte" se termine avec le jeune homme qui va se faire couper les cheveux dans un monastère, où Grief-Zlopodiya n'est plus là, et il reste à l'extérieur de la porte.